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Le ministre de l’Intérieur peut-il croire qu’il va s’en tirer avec une simple excuse sémantique du guêpier politique déclenché par ses propos au soir du 1er mai ? Peut-il exonérer l’exécutif du débat sur la réponse sécuritaire et violente qu’il apporte depuis des mois à un mouvement social ?